Béchard, Marie Caroline

 

NaissanceMariage

Acte de naissance de Marie Caroline BECHARD (22 avril 1843 – Saint-Martin-de-Valgalgues)

Notes marginales :

N°19. Naissance de Marie Caroline Béchard.

Texte :

L’an 1843 et le 22 avril à 8 heures du matin, par devant nous, Antoine Teissonnierre, maire officier public de l’état-civil de la commune de Saint-Martin-de-Valgalgues, chef-lieu de canton (Gard), est comparu en notre maison commune le nommé Eusèbe Béchard, propriétaire, âgé de 28 ans, habitant à la Vabreille, dite commune de Saint-Martin.

Lequel nous a présenté un enfant du sexe féminin, de lui déclarant et de Victoire André, son épouse légitime, née le matin à 3 heures, dans sa maison d’habitation audit lieu de la Vabreille. À laquelle enfant il a donné les prénoms de Marie Caroline.

Lesdites présentations et déclarations ont été faites en présence de Casimir Maurin, instituteur, âgé de 22 ans, et de Antoine Robert, cordonnier, âgé de 43 ans, habitant tous deux audit Saint-Martin. Qui ont signé avec nous, ainsi que le père, après lecture.

Source :

AD Gard, Saint-Martin-de-Valgalgues, année 1843, acte 19

Acte de mariage de Marie Caroline BECHARD (13 juillet 1865 – Saint-Martin-de-Valgalgues)

Notes marginales :

N°3. Mariage entre André Baldy et Marie Caroline Béchard.

Texte :

L’an 1865 et le 13 juillet à 8 heures du matin, devant nous, marquis de Lafare-Alais, maire, officier de l’état-civil de la commune de Saint-Martin-de-Valgalgues, arrondissement d’Alais (Gard), sont comparus publiquement en la maison commune :

– André Baldy, cultivateur, né à Saint-Julien-de-Valgagues, le 23 mai 1842, ainsi qu’il résulte de son acte de naissance ci-joint, fils légitime d’autre André Baldy, propriétaire, âgé de 53 ans, et de Sophie Aberlenc, âgée de 54 ans, tous deux présents et consentants, demeurant avec ses père et mère au lieu et commune dudit Saint-Julien, d’une part.

– Et demoiselle Marie Caroline Béchard, sans profession, née à Sauvagnac, commune dudit Saint-Martin, le 22 avril 1843, ainsi qu’il résulte de son acte de naissance que nous avons à notre disposition, fille légitime de Eusèbe Béchard, propriétaire, âgé de 52 ans, et de Victoire André, âgée de 51 ans, tous présents et consentants, demeurant avec ses père et mère audit lieu de Sauvagnac, d’autre part.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projetté entre eux, et dont les publications ont été faites en cette commune les dimanches 25 juin dernier et 2 juillet courant, à 10 heures du matin, sans qu’il nous ait été fait aucune opposition. Vu le certificat de la mairie dudit Saint-Julien portant que les mêmes publications ont été faites en cette commune les dits dimanches 25 juin et 2 juillet courant, à 10 heures du matin, aussi sans opposition au susdit mariage, faisant droit à leur réquisition après avoir donné lecture des actes de naissance, des actes de publication des futurs époux, des autres pièces produites et du chapitre 6 du titre du Code Napoléon intitulé « Du mariage », nous avons reçu de chacun d’eux séparément la déclaration qu’ils veulent se prendre pour mari et pour femme.

En conséquence, nous déclarons au nom de la loi que ledit André Baldy et ladite Marie Caroline Béchard sont unis par le mariage, ici, conformément à la loi du 10 juillet 1850.

Nous avons interpellé les futurs époux de nous déclarer s’ils n’ont point passé d’acte de mariage devant notaire. Lesquels nous ont répondu affirmativement et nous ont remis le certificat que leur a délivré maître Flandry, notaire à la résidence d’Alais. Duquel il conste que les futurs époux ont passé acte de mariage devant lui, le 12 juin dernier.

De tout quoi, nous avons dressé le présent acte, en présence des sieurs Antoine Robert, propriétaire, âgé de 67 ans, Angus Gazaix, cordonnier, âgé de 32 ans, Louis Dupont, garde-champêtre, âgé de 60 ans, et Michel Jullian, instituteur, âgé de 52 ans, tous quatre non parents des futurs époux et habitants sur ladite commune de Saint-Martin. Et ont lesdits témoins, avec les futurs époux, et le père de l’épouse, signé le présent avec nous, après lecture. Le père du futur, sa mère et la mère de la future qui, requis de signer, a déclaré ne savoir le faire.

Source :

AD Gard, Saint-Martin-de-Valgalgues, année 1865, acte 3