Volmat, Frédéric

 

NaissanceMariage

Acte de naissance de Frédéric VOLMAT (10 février 1845 – Vatilieu)

Texte :

L’an 1845 et le 10 février à 5 heures du soir, en mairie, devant nous, Antoine Martin Michat, maire officier public de l’état-civil de la commune de Vatilieu, canton de Tullins, arrondissement de Saint-Marcellin, département de l’Isère, y habitant, a comparu Antoine Etienne Volmat, propriétaire cultivateur, habitant cette commune, âgé de 41 ans.
Lequel nous a déclaré que Louise Mathieu, son épouse en légitime mariage, ménagère, habitant avec lui, âgée de 42 ans, est accouchée aujourd’hui à 4 heures du matin dans sa maison d’habitation d’un enfant du sexe masculin qu’il nous a présenté, auquel il a donné le prénom Frédéric.
Laquelle déclaration nous a été faite en présence de Joseph Forêt Lacroix, cultivateur, habitant au même lieu, âgé de 55 ans, et d’Antoine Chardon, rentier, habitant audit Vatilieu, âgé de 69 ans. D’après cette déclaration que lesdits témoins ont certifié avec nous, avons dressé le présent acte que nous avons lu auxdits témoins et déclarant et ont signé avec nous Antoine Chardon, non Forêt Lacroix, ni Volmat, père de l’enfant, qui ont déclaré ne le savoir faire.

Source :

AD Isère, 9NUM/AC526/1, p.4, année 1845, acte 3

Acte de mariage de Frédéric VOLMAT (17 mai 1880 – Beaurepaire)

Notes marginales :

N°6. Volmat Frédéric et Guillet Marie Eugénie.

Texte :

L’an 1880 et le 17 mai à une heure du soir, par devant nous, Frédéric Charcot, maire officier de l’état-civil de la commune de Beaurepaire (Isère), sont comparus en notre maison commune :
Monsieur Frédéric Volmat, âgé de 35 ans, instituteur à Montalieu-Vercieu, né à Vatilieu, le 10 février 1845, fils majeur et légitime des défunts Antoine Etienne Volmat et Louise Mathieu, de leur vivant propriétaires cultivateurs, domiciliés à Vatilieu, où ils sont décédés, le père : le 13 août 1849, et la mère : le 17 mai 1863, agissant de son propre consentement, d’une part.
Et mademoiselle Maria Eugénie Guillet, âgée de 19 ans, institutrice en congé à Beaurepaire, née à Véron, canton de Pont-en-Royans, le 24 octobre 1860, ainsi qu’il résultant tant pour cet acte que pour ceux qui précèdent des extraits qui ont été produits, fille mineure et légitime de Claude Joseph Guillet, âgé de 46 ans, instituteur, et de Marie Peyronnet, âgée de 47 ans, sans profession, domiciliés à Beaurepaire, ici présents et consentants, d’autre part.

Lesquels nous ont requis de procéder à la célébration du mariage projeté entre eux et dont les publications ont été régulièrement faites dans notre commune, les deux dimanches consécutifs 2 et 9 courant, à 11 heures du matin, et à Montalieu-Vercieu, les mêmes jours et à 10 heures du matin. Aucune opposition ne nous ayant été signifiée, non plus qu’au maire de Montalieu-Vercieu, ainsi que cela résulte du certificat qui a été produit, et les futurs époux ayant déclaré sur notre interpellation que leur contrat de mariage a été reçu aujourd’hui par maître Lhopital, notaire à Beaurepaire, ainsi qu’il appert du certificat qui a été produit, certificat qui, après avoir été coté et paraphé, ainsi que les autres pièces produites, restera avec elles annexé au présent acte.
Nous avons donné lecture de toutes les pièces susmentionnées et du chapitre VI du code intitulé : Du mariage. Ensuite, nous avons demandé aux futurs époux s’ils veulent se prendre réciproquement pour mari et pour femme, chacun d’eux séparément ayant répondu affirmativement, nous avons déclaré au nom de la loi que Frédéric Volmat et Maria Eugénie Guillet sont unis par le mariage.

De tout quoi dit et fait publiquement, nous avons dressé acte sur le champ, en présence des sieurs Joseph Bailly, âgé de 44 ans, marchand à Lyon, beau-père de l’époux, Edouard Guillet, âgé de 23 ans, instituteur en congé à Beaurepaire, frère de l’épouse, Henri Bailly, âgé de 23 ans, et Pierre André Roux, âgé de 25 ans, tous deux instituteurs adjoints, domiciliés à Beaurepaire. Lesquels, après qu’il leur a été donné lecture de l’acte, l’ont signé avec nous, ainsi que l’époux, l’épouse, le père de cette dernière, non la mère, qui a déclaré ne pouvoir le faire, de l’interpellée.

Source :

AD Isère, 9NUM/5E34/18, p.119, année 1880, acte 6