Acte de naissance de Ernest Martin BECHARD (13 avril 1845 – Saint-Martin-de-Valgalgues)
Notes marginales :
N°19. Naissance de Ernest Martin Béchard.
Texte :
L’an 1845 et le 14 avril à 6 heures du matin, devant nous, maire officier public de l’état-civil de la commune de Saint-Martin-de-Valgalgues, chef-lieu de canton (Gard), est comparu le nommé Eusèbe Béchard, propriétaire, demeurant au hameau de Sauvagnac dans ladite commune de Saint-Martin, âgé de 31 ans.
Lequel m’a présenté un enfant du sexe masculin, né audit Sauvagnac, le 13 dudit mois d’avril, à 9 heures du soir, de lui comparant et de Victoire André, son épouse légitime. Auquel dit enfant il a déclaré vouloir lui donner les prénoms de Marie Caroline.
Lesdites présentations et déclarations ont été faites en présence de Jacques Martin, âgé de 35 ans, et Jean Barry, âgé de 60 ans, habitant tous deux ladite commune. Et ont le comparant, avec ledit Barry, signé avec nous, après lecture. Ledit Martin a déclaré ne savoir le faire et a fait la croix.
Source :
AD Gard, Saint-Martin-de-Valgalgues, année 1845, acte 19
Acte de décès de Ernest Martin BECHARD (28 JAN 1901 – Saint-Julien-de-Valgalgues)
Notes marginales :
N°4. Béchard Ernest Martin, veuf de Pellet Anna Valérie, âgé de 55 ans.
28 janvier.
Texte :
L’an 1901, le 29 janvier, à 7 heures du matin, devant nous, maire, officier de l’état-civil de la commune de Saint-Julien-de-Valgalgues, canton d’Alais-Est, département du Gard, sont comparus : Baldit André Clovis, ouvrier minotier, âgé de 33 ans, neveu du décédé, et Boudon Basile Joseph, maçon, âgé de 33 ans, non parent, mais voisin du décédé.
Lesquels nous ont déclaré que le jour d’hier, à 9 heures du matin, est décédé en cette commune, dans sa maison d’habitation au quartier de la Plaine, Béchard Ernest Martin, propriétaire, âgé de 55 ans, veuf de Pellet Anna Valérie, né dans la commune Saint-Martin-de-Valgalgues, fils de défunts Béchard Eusèbe et André Victoire.
Et après nous être assuré du décès, nous avons dressé le présent acte, que les témoins ont signé avec nous, après que lecture leur en a été faite.
Source :
AD Gard, Saint-Julien-de-Valgagues, année 1901, acte 4